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Portrait de Jacquard d'après Jean-Claude Bonnefond
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À Londres, en 1851, lors de la première Exposition universelle, les fabricants de soieries lyonnais avaient découvert que la suprématie française dans ce domaine n'était plus chose évidente. La deuxième Exposition universelle est inaugurée dans le Palais de l'Industrie, à Paris, le 15 mai 1855. Lyon envoie cent vingt-sept exposants et les rapports qui concernent la soierie sont plus rassurants par rapport aux « tentatives de la concurrence étrangère. Il n'y a point [...] de peuple au monde capable de réunir à un degré aussi éminent la perfection du travail à la richesse de la matière première, et, qualité plus rare encore, le goût dans la création », comme l'indique Édouard Gorges dans sa revue de l'Exposition universelle publiée en 1855 à Paris (p. 103). Dix-sept Lyonnais reçoivent une médaille d'honneur contre une seule pour l'Angleterre, décernée à la maison Courtauld & Co. Deux des fabricants lyonnais qui bénéficient de cette distinction ont présenté des portraits tissés particulièrement remarqués. La maison Mathevon et Bouvard, spécialisée dans les étoffes façonnées et les pièces de prestige, s'était déjà illustrée en 1851 avec le Portrait de la reine Victoria (inv. MT 34313). Elle cède cette fois à l'engouement pour les portraits réalisés à l'imitation de la gravure et présente un Portrait de Washington, exécuté par le metteur en carte André Manin — auteur, déjà, de la mise en carte de La Visite du duc d'Aumale à la Croix-Rousse, dans l'atelier de M. Carquillat (inv. MT 37281) — et tissé par l'atelier de Michel-Marie Carquillat (inv. MT 25277). La critique est enthousiaste et unanime. Émile Leroudier, en 1922, le considère encore comme « le plus beau portrait tissé qu'ait produit la Fabrique lyonnaise. » La seconde est la maison Furnion père et fils aîné, qui « a la spécialité de l'article gilets façonnés, brochés très riches. Ses velours double et triple corps, et ses peluches façonnées à effet, ainsi que ses velours chinés brochés sont d'une grande supériorité. Ces articles sont, comme on le sait, les plus difficiles à fabriquer et exigent les métiers les plus compliqués. On a remarqué dans cette exposition un velours peluche à deux faces sans envers, ce qui est un produit tout à fait nouveau, ainsi que deux tableaux tissés représentant les portraits de l'Empereur Napoléon Ier et Napoléon III d'une grande perfection » (Rapports du jury mixte international, Paris, 1856, vol. 2, p. 391). Les deux panneaux avec les portraits de Napoléon Ier (inv. MT 42745) et Napoléon III ( inv. MT 42746) sont conservés au musée des Tissus. Chacun présente un Empereur en buste, de profil, traité à l'antique, conformément aux modèles fournis par les médailleurs, contenu dans un médaillon. Celui-ci est bordé par un tore décoré de feuilles de laurier et de rosettes, timbré, en partie supérieure, d'une étoile, et, en partie inférieure, d'une couronne de laurier contenant le chiffre des Empereurs. Un entour de rinceaux d'acanthe d'où jaillissent des branches de chêne et de laurier supporte la couronne impériale, qui domine l'ensemble, et une guirlande de fruits, suspendue en partie inférieure, sertit la croix de la Légion d'Honneur. L'exécution de ces portraits constitue une prouesse technique, puisqu'il s'agit de velours ciselés quadruple corps. Entre 1851 et 1854, la maison Furnion dépose plusieurs brevets pour « la fabrication des velours sans envers », pour « l'application (par le tissage) du velours ou de la peluche unis ou façonnés à l'envers de toutes sortes d'étoffes façonnées », pour « la combinaison d'armures pour la fabrication d'étoffes façonnées », pour « un mode de fabrication du velours façonné en supprimant les bobines ou roquetins. » Mais la qualité du dessin vaut aussi à son auteur, Auguste Malpertuy, « dessinateur à Lyon, présenté par MM. Furnion père et fils », une médaille de seconde classe pour son « habileté » et sa « bonne moralité. » Le musée des Tissus conserve le dessin préparatoire à la mise en carte du Portrait de Napoléon Ier. Le panneau avec Napoléon III comporte en partie inférieure une double signature, « FURNION Père & Fils Aîné. » à gauche, et, à droite, « A. MALPERTUY. D(elineavit). » Le tour de force mis au service du dessin est très remarqué par les visiteurs de l'Exposition. Même Joseph Gérard, le sévère auteur des Lettres d'un marchand de Paris sur l'Exposition universelle des soieries, imprimées à Lyon en 1855, reconnaît que « les deux Napoléons de MM. Furnion père et fils en ciselé gris camaïeu sur un fond satin ponceau (sic) sont admirables » (p. 71). George Willis, directeur de la Birmingham School of Art, bien qu'il n'apprécie guère le genre du portrait tissé, leur consacre quelques lignes dans le compte rendu qu'il fait de l'Exposition : il souligne leurs qualités artistiques et techniques même s'il déplore le coût des pièces et leur perspective commerciale limitée (« Furnion père et fils aîné, whose peculiar display has been already named, also exhibit medallion portraits of the two Emperors Napoléon executed in velvet, with ornamental borders of fine execution. These are suggestive of a mode of treatment which might be adapted to certain kinds of furniture textiles, where expense was not a primary consideration.  They are quoted, however, as in the case of the Portrait of Washington, rather as proofs of the adaptability of the mechanical moans employed in the production of artistic results, than as being commercially important. » The Art Journal London, vol. 1, 1855, p. IV). La question de la rentabilité est au cœur des préoccupations lors des Expositions universelles. La popularité des portraits tissés par Carquillat doit aussi beaucoup à leur mode de production en série, même si les plus prestigieux restent dispendieux. Le portrait tissé selon les modes de fabrication des grand façonnés vit ses derniers instants sous le Second Empire. Les réalisations de la maison Furnion père et fils aîné, même lorsqu'elles adaptent des modèles populaires comme le Portrait de Jacquard à la complexité de leurs techniques, ne sont guère destinées qu'à une clientèle extrêmement privilégiée. Il est intéressant néanmoins de constater que la maison a souhaité faire figurer à l'Exposition universelle, aux côtés des figures impériales, celle de Jacquard d'après le tableau de Jean-Claude Bonnefond. C'est la seule tentative de la Fabrique lyonnaise d'adapter l'image créée par la maison Didier-Petit et Cie avec les procédés de Michel-Marie Carquillat à une technique particulièrement complexe, celle du « velours broderie » triple corps : le camaïeu est obtenu par le jeu des couleurs de la chaîne velours, montée à disposition, et par la juxtaposition de poils et de frisons, la hauteur du velours frisé étant équivalente ou supérieure à celle du velours coupé. L'image originale, qui venait de retrouver une actualité forte avec la réalisation de la gravure de Joseph-Victor Vibert, est ici réduite à un médaillon qui enferme le buste de l'inventeur. Une précieuse couronne encadre le médaillon, comme pour rappeler la difficulté de la mise en œuvre et attirer l'attention sur le caractère exceptionnel de la pièce. Elle est régulièrement timbrée de rosettes décoratives, et recouverte d'un réseau d'entrelacs néo-gothiques. Le musée des Tissus conserve le dessin préparatoire de ce portrait (inv. MT 2014.0.25). Le nom de son auteur, Auguste Malpertuy, suivi d'un « D » signifiant delineavit, c'est-à-dire « l'a dessiné », figure dans l'angle inférieur droit de la laize, avec celui du tisseur Antoine Bois qui a contribué, lui aussi, à la perfection de ce chef-d'œuvre d'exposition. Maximilien Durand
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À Londres, en 1851, lors de la première Exposition universelle, les fabricants de soieries lyonnais avaient découvert que la suprématie française dans ce domaine n'était plus chose évidente. La deuxième Exposition universelle est inaugurée dans le Palais de l'Industrie, à Paris, le 15 mai 1855. Lyon envoie cent vingt-sept exposants et les rapports qui concernent la soierie sont plus rassurants par rapport aux « tentatives de la concurrence étrangère. Il n'y a point [...] de peuple au monde capable de réunir à un degré aussi éminent la perfection du travail à la richesse de la matière première, et, qualité plus rare encore, le goût dans la création », comme l'indique Édouard Gorges dans sa revue de l'Exposition universelle publiée en 1855 à Paris (p. 103). Dix-sept Lyonnais reçoivent une médaille d'honneur contre une seule pour l'Angleterre, décernée à la maison Courtauld & Co. Deux des fabricants lyonnais qui bénéficient de cette distinction ont présenté des portraits tissés particulièrement remarqués. La maison Mathevon et Bouvard, spécialisée dans les étoffes façonnées et les pièces de prestige, s'était déjà illustrée en 1851 avec le Portrait de la reine Victoria (inv. MT 34313). Elle cède cette fois à l'engouement pour les portraits réalisés à l'imitation de la gravure et présente un Portrait de Washington, exécuté par le metteur en carte André Manin — auteur, déjà, de la mise en carte de La Visite du duc d'Aumale à la Croix-Rousse, dans l'atelier de M. Carquillat (inv. MT 37281) — et tissé par l'atelier de Michel-Marie Carquillat (inv. MT 25277). La critique est enthousiaste et unanime. Émile Leroudier, en 1922, le considère encore comme « le plus beau portrait tissé qu'ait produit la Fabrique lyonnaise. » La seconde est la maison Furnion père et fils aîné, qui « a la spécialité de l'article gilets façonnés, brochés très riches. 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