"Etoffe pour tenture. Les deux lisi\u00E8res sont encore en place. Gros de Tours blanc broch\u00E9 une seule nuance couleur d'or, dessin \u00E0 rosaces en quinconce. Largeur du motif : 50 mm.\n\nHistorique :\nLa confection, pr\u00E9vue par la soumission d'Andry pour le \"Cabinet du d\u00E9shabill\u00E9 ou des armoires\", est n\u00E9anmoins inscrite \u00E0 l'inventaire des Tuileries dans le Cabinet de Toilette de l'Empereur, apr\u00E8s sa Chambre \u00E0 coucher, o\u00F9 on trouve en 1809 deux parties de rideaux, un canap\u00E9 en bois sculpt\u00E9 et dor\u00E9 couvert en gros de Tours, deux fauteuils, deux tabourets de pieds, six chaises pareilles au canap\u00E9. D\u00E8s 1816, les si\u00E8ges ne figurent plus \u00E0 l'inventaire, les rideaux rentrent au Garde-Meuble en 1818 et un nouveau d\u00E9cor fut mis en place. Sur les 140 m\u00E8tres de gros de Tours command\u00E9s, 71m62 n'avaient pas \u00E9t\u00E9 utilis\u00E9s et Desmazis proposa d'en faire l'acquisition pour les employer en 1810 dans le Cabinet de Toilette de l'Imp\u00E9ratrice \u00E0 Saint-Cloud, sur la Cour d'honneur, afin de garnir un ensemble de si\u00E8ges (canap\u00E9, quatre fauteuils et quatre chaises en acajou). La m\u00EAme ann\u00E9e, le tapissier Darrac employa cette \u00E9toffe \u00E0la confection de quatre parties de rideaux de crois\u00E9e, d'une devanture d'alc\u00F4ve, d'une pente et d'une courtepointe, ainsi que pour la garniture de si\u00E8ges en acajou, \u00E0 destination d'un appartement de prince \u00E0 Compi\u00E8gne. L'ensemble \u00E9tait toujours en place en 1817 dans la chambre \u00E0 coucher du gouverneur."@fr . "Etoffe pour tenture. Les deux lisi\u00E8res sont encore en place. Gros de Tours blanc broch\u00E9 une seule nuance couleur d'or, dessin \u00E0 rosaces en quinconce. Largeur du motif : 50 mm.\n\nHistorique :\nLa confection, pr\u00E9vue par la soumission d'Andry pour le \"Cabinet du d\u00E9shabill\u00E9 ou des armoires\", est n\u00E9anmoins inscrite \u00E0 l'inventaire des Tuileries dans le Cabinet de Toilette de l'Empereur, apr\u00E8s sa Chambre \u00E0 coucher, o\u00F9 on trouve en 1809 deux parties de rideaux, un canap\u00E9 en bois sculpt\u00E9 et dor\u00E9 couvert en gros de Tours, deux fauteuils, deux tabourets de pieds, six chaises pareilles au canap\u00E9. D\u00E8s 1816, les si\u00E8ges ne figurent plus \u00E0 l'inventaire, les rideaux rentrent au Garde-Meuble en 1818 et un nouveau d\u00E9cor fut mis en place. Sur les 140 m\u00E8tres de gros de Tours command\u00E9s, 71m62 n'avaient pas \u00E9t\u00E9 utilis\u00E9s et Desmazis proposa d'en faire l'acquisition pour les employer en 1810 dans le Cabinet de Toilette de l'Imp\u00E9ratrice \u00E0 Saint-Cloud, sur la Cour d'honneur, afin de garnir un ensemble de si\u00E8ges (canap\u00E9, quatre fauteuils et quatre chaises en acajou). La m\u00EAme ann\u00E9e, le tapissier Darrac employa cette \u00E9toffe \u00E0la confection de quatre parties de rideaux de crois\u00E9e, d'une devanture d'alc\u00F4ve, d'une pente et d'une courtepointe, ainsi que pour la garniture de si\u00E8ges en acajou, \u00E0 destination d'un appartement de prince \u00E0 Compi\u00E8gne. L'ensemble \u00E9tait toujours en place en 1817 dans la chambre \u00E0 coucher du gouverneur."@fr . . "Tenture destin\u00E9e \u00E0 la Salle de Bains de l'Empereur au Palais des Tuileries"@fr . "Tenture destin\u00E9e \u00E0 la Salle de Bains de l'Empereur au Palais des Tuileries"@fr . . . . "GMMP-21723-001" .