. . . . . . "La maison Schulz, Gourdon et Cie, \u00E9tablie 8, rue du Griffon,\u00A0\u00E9tait sp\u00E9cialis\u00E9e dans les \u00AB soieries, hautes nouveaut\u00E9s riches pour robes et confections, \u00E9toffes unies couleur en tous genres \u00BB.\u00A0Elle avait re\u00E7u de\u00A0nombreuses distinctions aux grandes manifestations internationales :\u00A0une Grande M\u00E9daille d'honneur \u00E0 l'Exposition universelle de Paris, en 1855, une Prize Medal \u00E0 celle de Londres, en 1862, une Grande M\u00E9daille d'honneur \u00E0 l'Exposition internationale de Porto, en 1865 ; un Dipl\u00F4me d'honneur \u00E0 l'Exposition universelle de Vienne en 1873 ; un Grand Prix \u00E0 l'Exposition universelle de Paris, en 1878. Charles Schulz\u00A0fut d\u00E9cor\u00E9 de\u00A0la Croix de la L\u00E9gion d'honneur \u00E0 Paris en 1855, puis de la Croix de l'ordre du Christ \u00E0 Porto en 1865 ;\u00A0Michel B\u00E9raud, d'une m\u00E9daille\u00A0et de la Croix de la L\u00E9gion d'honneur \u00E0 l'Exposition universelle de 1867 avec la mention \u00AB Talent hors ligne pour les dessins de fabrique. A contribu\u00E9 par ses travaux \u00E0 la sup\u00E9riorit\u00E9 de l'industrie lyonnaise \u00BB ; \u00C9mile Schulz re\u00E7oit la Croix de la L\u00E9gion d'honneur \u00E0 Vienne, en 1873.\u00A0D'abord dessinateur puis associ\u00E9 des\u00A0fr\u00E8res Charles et \u00C9mile Schulz, Michel B\u00E9raud se retire en1875.\u00A0Jean-Baptiste Alexandre Barqui, comme lui ancien \u00E9l\u00E8ve d'Augustin Thierriat \u00E0 l'\u00C9cole des Beaux-Arts de Lyon, lui succ\u00E8de comme dessinateur apr\u00E8s avoir \u00E9t\u00E9 son collaborateur. On lui a attribu\u00E9 parfois le dessin de la laize Soleil, orchid\u00E9es,\u00A0salu\u00E9e par tous les commentateurs de l'Exposition universelle de Paris, en 1889, \u00E0 l'issue de laquelle\u00A0la maison Schulz, Gourdon et Cie est gratifi\u00E9e d'un Grand Prix. Plusieurs des collaborateurs de la maison sont d'ailleurs aussi distingu\u00E9s \u00E0 cette occasion : Jean-Baptiste Alexandre Barqui, lui-m\u00EAme, d'une M\u00E9daille d'or, Joseph Billet,\u00A0\u00C9tienne Chemain, Charles Clairenson, Joseph Garin-Michaud et Paul Nicoud,\u00A0d'une M\u00E9daille d'argent, Denis-Derville Bonnard, Fran\u00E7ois Martin et Louis Sigaud, d'une M\u00E9daille de bronze. C'est pourtant \u00E0 Arthur Martin que Victor Champier,\u00A0r\u00E9dacteur en chef de la Revue des Arts d\u00E9coratifs, attribue le dessin de Soleil, orchid\u00E9es dans Les industries d'Art \u00E0 l'Exposition universelle de 1889, publi\u00E9 en 1891. Arthur Martin est alors consid\u00E9r\u00E9 comme un \u00AB dessinateur industriel de premier ordre \u00BB. Il est \u00E9tabli \u00E0 Paris, rue de Tr\u00E9vise. Il fournit des dessins de tapis, de tapisseries, d'\u00E9toffes, d'ameublements et de robes pour les plus grandes maisons de France. L'\u00E9toffe, un satin pour robe liser\u00E9, lanc\u00E9 et broch\u00E9, pr\u00E9sentait l'un des plus importants rapports de dessin de l'Exposition universelle de 1889 (94,5\u00A0cm de haut pour\u00A063 cm de large).\u00A0Il\u00A0repr\u00E9sente, sur un fond cr\u00E8me,\u00A0des gerbes d'orchid\u00E9es aur\u00E9ol\u00E9es de rayons dor\u00E9s.\u00A0Adrien Storck, commentant les produits pr\u00E9sent\u00E9s \u00E0 l'Exposition universelle de 1889, parle d'un \u00AB v\u00E9ritable tableau soyeux \u00BB.\nMaximilien Durand"@fr . . . . . . . . . "La maison Schulz, Gourdon et Cie, \u00E9tablie 8, rue du Griffon,\u00A0\u00E9tait sp\u00E9cialis\u00E9e dans les \u00AB soieries, hautes nouveaut\u00E9s riches pour robes et confections, \u00E9toffes unies couleur en tous genres \u00BB.\u00A0Elle avait re\u00E7u de\u00A0nombreuses distinctions aux grandes manifestations internationales :\u00A0une Grande M\u00E9daille d'honneur \u00E0 l'Exposition universelle de Paris, en 1855, une Prize Medal \u00E0 celle de Londres, en 1862, une Grande M\u00E9daille d'honneur \u00E0 l'Exposition internationale de Porto, en 1865 ; un Dipl\u00F4me d'honneur \u00E0 l'Exposition universelle de Vienne en 1873 ; un Grand Prix \u00E0 l'Exposition universelle de Paris, en 1878. Charles Schulz\u00A0fut d\u00E9cor\u00E9 de\u00A0la Croix de la L\u00E9gion d'honneur \u00E0 Paris en 1855, puis de la Croix de l'ordre du Christ \u00E0 Porto en 1865 ;\u00A0Michel B\u00E9raud, d'une m\u00E9daille\u00A0et de la Croix de la L\u00E9gion d'honneur \u00E0 l'Exposition universelle de 1867 avec la mention \u00AB Talent hors ligne pour les dessins de fabrique. A contribu\u00E9 par ses travaux \u00E0 la sup\u00E9riorit\u00E9 de l'industrie lyonnaise \u00BB ; \u00C9mile Schulz re\u00E7oit la Croix de la L\u00E9gion d'honneur \u00E0 Vienne, en 1873.\u00A0D'abord dessinateur puis associ\u00E9 des\u00A0fr\u00E8res Charles et \u00C9mile Schulz, Michel B\u00E9raud se retire en1875.\u00A0Jean-Baptiste Alexandre Barqui, comme lui ancien \u00E9l\u00E8ve d'Augustin Thierriat \u00E0 l'\u00C9cole des Beaux-Arts de Lyon, lui succ\u00E8de comme dessinateur apr\u00E8s avoir \u00E9t\u00E9 son collaborateur. On lui a attribu\u00E9 parfois le dessin de la laize Soleil, orchid\u00E9es,\u00A0salu\u00E9e par tous les commentateurs de l'Exposition universelle de Paris, en 1889, \u00E0 l'issue de laquelle\u00A0la maison Schulz, Gourdon et Cie est gratifi\u00E9e d'un Grand Prix. Plusieurs des collaborateurs de la maison sont d'ailleurs aussi distingu\u00E9s \u00E0 cette occasion : Jean-Baptiste Alexandre Barqui, lui-m\u00EAme, d'une M\u00E9daille d'or, Joseph Billet,\u00A0\u00C9tienne Chemain, Charles Clairenson, Joseph Garin-Michaud et Paul Nicoud,\u00A0d'une M\u00E9daille d'argent, Denis-Derville Bonnard, Fran\u00E7ois Martin et Louis Sigaud, d'une M\u00E9daille de bronze. C'est pourtant \u00E0 Arthur Martin que Victor Champier,\u00A0r\u00E9dacteur en chef de la Revue des Arts d\u00E9coratifs, attribue le dessin de Soleil, orchid\u00E9es dans Les industries d'Art \u00E0 l'Exposition universelle de 1889, publi\u00E9 en 1891. Arthur Martin est alors consid\u00E9r\u00E9 comme un \u00AB dessinateur industriel de premier ordre \u00BB. Il est \u00E9tabli \u00E0 Paris, rue de Tr\u00E9vise. Il fournit des dessins de tapis, de tapisseries, d'\u00E9toffes, d'ameublements et de robes pour les plus grandes maisons de France. L'\u00E9toffe, un satin pour robe liser\u00E9, lanc\u00E9 et broch\u00E9, pr\u00E9sentait l'un des plus importants rapports de dessin de l'Exposition universelle de 1889 (94,5\u00A0cm de haut pour\u00A063 cm de large).\u00A0Il\u00A0repr\u00E9sente, sur un fond cr\u00E8me,\u00A0des gerbes d'orchid\u00E9es aur\u00E9ol\u00E9es de rayons dor\u00E9s.\u00A0Adrien Storck, commentant les produits pr\u00E9sent\u00E9s \u00E0 l'Exposition universelle de 1889, parle d'un \u00AB v\u00E9ritable tableau soyeux \u00BB.\nMaximilien Durand"@fr . . "20074" . . "0.98970001935958862305"^^ . "Soleil, orchid\u00E9es"@fr . . . "Soleil, orchid\u00E9es"@fr . . . . . . . . . . "0.95069998502731323242"^^ . 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