. . . . . . . . . . . "0.58890002965927124023"^^ . . . . . . "62300" . . . . "Blouse l\u00E9g\u00E8re sans manches"@fr . "Fond\u00E9e en 1891 par Jeanne Paquin (1869-1936) au 3, rue de la Paix, \u00E0 Paris, la maison Paquin, dont le si\u00E8ge est transf\u00E9r\u00E9 \u00E0 Londres en 1896, est particuli\u00E8rement importante pour la naissance de la Haute Couture. Ses mod\u00E8les, orn\u00E9s de fourrure ou de dentelles, assurent la notori\u00E9t\u00E9 de la cr\u00E9atrice qui pr\u00E9sidera la Chambre syndicale de la couture de 1917 \u00E0 1919, avant de se retirer en 1920. Elle est la premi\u00E8re couturi\u00E8re \u00E0 recevoir, en 1913, la croix de la L\u00E9gion d'honneur.\nElle confie la gestion de la maison Paquin \u00E0 Henri Joire et la direction artistique \u00E0 Madeleine Wallis, qui continue \u00E0 proposer des mod\u00E8les r\u00E9put\u00E9s pour la qualit\u00E9 des \u00E9toffes employ\u00E9es et pour leur confection remarquable.\nLa blouse l\u00E9g\u00E8re en mousseline et dentelle parme orn\u00E9e de fils m\u00E9tallique est donc particuli\u00E8rement repr\u00E9sentative de la production de la maison Paquin dans les ann\u00E9es 1930, par ses effets de transparence et de superposition, par l'usage d'une dentelle de qualit\u00E9 et par l'utilisation de fils dor\u00E9. \nEntre la Belle Epoque et la fin de sa carri\u00E8re en 1920, la renomm\u00E9e de Madame Paquin reste fond\u00E9e sur l\u2019utilisation subtile d\u2019\u00E9toffes pr\u00E9cieuses et l\u00E9g\u00E8res pour la r\u00E9alisation de mod\u00E8les toujours adapt\u00E9s aux modifications de la silhouette. Ses successeurs dont Madeleine Wallis, auteur de ce mod\u00E8le, s\u2019attachent \u00E0 perp\u00E9tuer ces principes, valorisant chaque mati\u00E8re par une mise en \u0153uvre remarquable de leurs singularit\u00E9s et qualit\u00E9s. Ce travail est aussi le fruit d\u2019une collaboration \u00E9troite entre fabricants textiles et couturiers, particuli\u00E8rement sensible dans les ann\u00E9es 1930, p\u00E9riode pendant laquelle la mati\u00E8re prime souvent sur le d\u00E9cor pour mieux exprimer la ligne.\nLa blouse faisait partie de la garde-robe d'une \u00E9l\u00E9gante lyonnaise de l'Entre-deux-guerres dont le mus\u00E9e des Tissus poss\u00E8de deux autres pi\u00E8ces, une robe du d\u00E9but des ann\u00E9es 1930, en lin brod\u00E9 de cordonnets de soie (inv. MT 2013.2.1) et une robe en satin brod\u00E9e de soie et de paillettes (inv. MT 2013.2.2).\u00A0\nMaximilien Durand"@fr . . . . . . . . . "0.51779997348785400391"^^ . "0.46790000796318054199"^^ . . "0.501399993896484375"^^ . . . 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Elle est la premi\u00E8re couturi\u00E8re \u00E0 recevoir, en 1913, la croix de la L\u00E9gion d'honneur.\nElle confie la gestion de la maison Paquin \u00E0 Henri Joire et la direction artistique \u00E0 Madeleine Wallis, qui continue \u00E0 proposer des mod\u00E8les r\u00E9put\u00E9s pour la qualit\u00E9 des \u00E9toffes employ\u00E9es et pour leur confection remarquable.\nLa blouse l\u00E9g\u00E8re en mousseline et dentelle parme orn\u00E9e de fils m\u00E9tallique est donc particuli\u00E8rement repr\u00E9sentative de la production de la maison Paquin dans les ann\u00E9es 1930, par ses effets de transparence et de superposition, par l'usage d'une dentelle de qualit\u00E9 et par l'utilisation de fils dor\u00E9. \nEntre la Belle Epoque et la fin de sa carri\u00E8re en 1920, la renomm\u00E9e de Madame Paquin reste fond\u00E9e sur l\u2019utilisation subtile d\u2019\u00E9toffes pr\u00E9cieuses et l\u00E9g\u00E8res pour la r\u00E9alisation de mod\u00E8les toujours adapt\u00E9s aux modifications de la silhouette. Ses successeurs dont Madeleine Wallis, auteur de ce mod\u00E8le, s\u2019attachent \u00E0 perp\u00E9tuer ces principes, valorisant chaque mati\u00E8re par une mise en \u0153uvre remarquable de leurs singularit\u00E9s et qualit\u00E9s. Ce travail est aussi le fruit d\u2019une collaboration \u00E9troite entre fabricants textiles et couturiers, particuli\u00E8rement sensible dans les ann\u00E9es 1930, p\u00E9riode pendant laquelle la mati\u00E8re prime souvent sur le d\u00E9cor pour mieux exprimer la ligne.\nLa blouse faisait partie de la garde-robe d'une \u00E9l\u00E9gante lyonnaise de l'Entre-deux-guerres dont le mus\u00E9e des Tissus poss\u00E8de deux autres pi\u00E8ces, une robe du d\u00E9but des ann\u00E9es 1930, en lin brod\u00E9 de cordonnets de soie (inv. MT 2013.2.1) et une robe en satin brod\u00E9e de soie et de paillettes (inv. MT 2013.2.2).\u00A0\nMaximilien Durand"@fr . . . . . . . . . . . . "0.52539998292922973633"^^ . . . "0.45939999818801879883"^^ . . . . . . . . . . . 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