"0.8863"^^ . . . "0.9702"^^ . . . "GMMP-28-000" . . . . . . . . "Tenture pour un salon du petit appartement de l'Imp\u00E9ratrice au ch\u00E2teau de Versailles. Satin blanc brod\u00E9, en soie et chenille, de fleurs et d'oiseaux.\nTenture \"Brod\u00E9 en soie et chenille de diverses nuances et dans les diff\u00E9rents genres de broderies \u00E0 l'aiguille, en pass\u00E9 et au crochet avec des applications en \u00E9toffe, avec quelques petites parties en dorure dans le vase qui contient des fleurs\". Le dessin repr\u00E9sente \"un fond de petits bouquets et oiseaux nu\u00E9s. Sur la partie inf\u00E9rieure d'un des l\u00E9s est un f\u00FBt de colonne portant un vase orn\u00E9 de dorures de diff\u00E9rentes couleurs et contenant une masse de fleurs nu\u00E9es au naturel. Sur la partie inf\u00E9rieure de l'autre l\u00E9s est une corbeille antique contenant pareillement une masse de Fleures nu\u00E9es et soutenus par des ornements couleur d'or\".\n\nHistorique : \nLe d\u00E9cor est un des chefs-d'oeuvre du dessinateur Bony. Il fut ex\u00E9cut\u00E9 entre 1811 et 1812, par la maison Bissardon dont faisait partie Bony, et livr\u00E9 au Mobilier imp\u00E9rial le 24 octobre 1812, pour le petit salon de l'imp\u00E9ratrice Marie-Louise, au ch\u00E2teau de Versailles. La livraison comprenait 15 l\u00E9s d'\u00E9toffe pour tenture murale, mesurant chacun 0,735 m\u00E8tres de large et 3,10 m\u00E8tres de long et l'\u00E9toffe et des bordures de diff\u00E9rentes largeurs n\u00E9cessaires pour l'encadrement et la couverture d'un canap\u00E9, une berg\u00E8re, huit fauteuils, six chaises, deux tabourets et un \u00E9cran.\nLa maison Bissardon, Bony et Cie re\u00E7ut la somme de 25154 francs pour la livraison de ce travail. \nComme pour les autres commandes imp\u00E9riales pass\u00E9es \u00E0 partir de 1811 pour le renouveau du ch\u00E2teau de Versailles, ce meuble de satin brod\u00E9 ne fut jamais utilis\u00E9 et resta complet dans les magasins du Garde-Meuble jusqu'\u00E0 la fin du XIXe si\u00E8cle, \u00E0 l'exception du damas blanc pour rideaux. Celui-ci fut employ\u00E9 en 1839 par le chasublier Biais et en 1842 par Leys \u00E0 Trianon."@fr . . . . "0.9936"^^ . . . . . . . "0.8619"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "0.8476"^^ . "Tenture de l'Imp\u00E9ratrice au Palais de Versailles"@fr . . "Tenture de l'Imp\u00E9ratrice au Palais de Versailles"@fr . "Tenture pour un salon du petit appartement de l'Imp\u00E9ratrice au ch\u00E2teau de Versailles. Satin blanc brod\u00E9, en soie et chenille, de fleurs et d'oiseaux.\nTenture \"Brod\u00E9 en soie et chenille de diverses nuances et dans les diff\u00E9rents genres de broderies \u00E0 l'aiguille, en pass\u00E9 et au crochet avec des applications en \u00E9toffe, avec quelques petites parties en dorure dans le vase qui contient des fleurs\". Le dessin repr\u00E9sente \"un fond de petits bouquets et oiseaux nu\u00E9s. Sur la partie inf\u00E9rieure d'un des l\u00E9s est un f\u00FBt de colonne portant un vase orn\u00E9 de dorures de diff\u00E9rentes couleurs et contenant une masse de fleurs nu\u00E9es au naturel. Sur la partie inf\u00E9rieure de l'autre l\u00E9s est une corbeille antique contenant pareillement une masse de Fleures nu\u00E9es et soutenus par des ornements couleur d'or\".\n\nHistorique : \nLe d\u00E9cor est un des chefs-d'oeuvre du dessinateur Bony. Il fut ex\u00E9cut\u00E9 entre 1811 et 1812, par la maison Bissardon dont faisait partie Bony, et livr\u00E9 au Mobilier imp\u00E9rial le 24 octobre 1812, pour le petit salon de l'imp\u00E9ratrice Marie-Louise, au ch\u00E2teau de Versailles. La livraison comprenait 15 l\u00E9s d'\u00E9toffe pour tenture murale, mesurant chacun 0,735 m\u00E8tres de large et 3,10 m\u00E8tres de long et l'\u00E9toffe et des bordures de diff\u00E9rentes largeurs n\u00E9cessaires pour l'encadrement et la couverture d'un canap\u00E9, une berg\u00E8re, huit fauteuils, six chaises, deux tabourets et un \u00E9cran.\nLa maison Bissardon, Bony et Cie re\u00E7ut la somme de 25154 francs pour la livraison de ce travail. \nComme pour les autres commandes imp\u00E9riales pass\u00E9es \u00E0 partir de 1811 pour le renouveau du ch\u00E2teau de Versailles, ce meuble de satin brod\u00E9 ne fut jamais utilis\u00E9 et resta complet dans les magasins du Garde-Meuble jusqu'\u00E0 la fin du XIXe si\u00E8cle, \u00E0 l'exception du damas blanc pour rideaux. Celui-ci fut employ\u00E9 en 1839 par le chasublier Biais et en 1842 par Leys \u00E0 Trianon."@fr .