. . . . . . . . "38193" . . . "Appartenant au vestiaire de la m\u00EAme statue qu'une autre\u00A0robe de statue de la Vierge\u00A0conserv\u00E9e au mus\u00E9e des\u00A0Tissus\u00A0(inv. MT 24783.1), cette\u00A0robe d\u2019Enfant J\u00E9sus est\u00A0conserv\u00E9e avec celle\u00A0de sa M\u00E8re (inv. MT 24783.3).\u00A0Les deux v\u00EAtements\u00A0ont \u00E9t\u00E9 confectionn\u00E9s dans un tissu de remploi, tr\u00E8s probablement issu de la garde-robe d\u2019une \u00E9l\u00E9gante. Il s\u2019agit d\u2019un taffetas de soie \u00E9crue, brod\u00E9 dans sa partie inf\u00E9rieure de paillettes, de fils torsad\u00E9s m\u00E9talliques, de fils de chenille et agr\u00E9ment\u00E9 d\u2019applications de satin ros\u00E9 pour les fleurs \u00E0 multiples p\u00E9tales. La robe de la Vierge comprend deux morceaux taill\u00E9s \u00E0 la forme du v\u00EAtement et assembl\u00E9s par le milieu. Ils sont compl\u00E9t\u00E9s par deux petites pi\u00E8ces du m\u00EAme taffetas sans d\u00E9cor constituant l\u2019angle inf\u00E9rieur droit. La robe de l\u2019Enfant J\u00E9sus ne comprend que deux morceaux de taffetas brod\u00E9, cousus ensemble par le milieu. L\u2019ensemble a \u00E9t\u00E9 doubl\u00E9 d\u2019un bougran bleu clair. Les deux v\u00EAtements ont ensuite \u00E9t\u00E9 bord\u00E9s d\u2019un galon bleu clair, cousu avec un fil vert. Le d\u00E9cor d\u2019origine a \u00E9t\u00E9 enrichi par des applications de feuilles, d\u2019oiseaux ou d\u2019\u00E9toiles m\u00E9talliques argent\u00E9s et dor\u00E9s, par des paillettes argent\u00E9es et des ornements en fils m\u00E9talliques, \u00E9galement argent\u00E9s. Un dessin sous-jacent appara\u00EEt par endroits sous les broderies anciennes et sous les nouvelles, mais il n\u2019est pas syst\u00E9matique. Des fleurs paillet\u00E9es rondes ont \u00E9t\u00E9 d\u00E9coup\u00E9es au ras du motif dans le taffetas d\u2019origine et appliqu\u00E9es sur la robe de la Vierge, de part et d\u2019autre de l\u2019axe de sym\u00E9trie central. Une dentelle m\u00E9tallique a \u00E9t\u00E9 cousue sur les c\u00F4t\u00E9s et \u00E0 l\u2019encolure des deux robes. Un bourrelet m\u00E9tallique borde l\u2019ourlet inf\u00E9rieur du v\u00EAtement de la Vierge, et une frange argent\u00E9e celui de la robe de l\u2019Enfant. Sur la robe de la Vierge, une fente a \u00E9t\u00E9 pratiqu\u00E9e dans la partie sup\u00E9rieure droite pour permettre le positionnement de l\u2019Enfant. Des rubans \u00E9crus ont \u00E9t\u00E9 fix\u00E9s aux encolures. Ils servaient \u00E0 attacher les v\u00EAtements \u00E0 la statue. De la m\u00EAme mani\u00E8re, de nombreux trous d\u2019\u00E9pingle correspondent \u00E0 l\u2019habillage de l\u2019effigie. \nL\u2019utilisation de chenille de soie, de passementerie, de paillettes, de clinquants, de cannetille m\u00E9tallique fris\u00E9e et non fris\u00E9e caract\u00E9rise les broderies r\u00E9alis\u00E9es pour les bas des robes sous le Premier Empire. Sur des \u00E9toffes l\u00E9g\u00E8res couraient des frises de fleurs ou de feuilles, r\u00E9alis\u00E9es en soies polychromes et lames de m\u00E9tal divers. Le mus\u00E9e des Tissus en conserve de nombreux exemplaires (inv. MT 18627, MT 18514, MT 18613.1 et 2, MT 18571, MT 35135.3, MT 35135.1, MT 35137.1 et MT 2952, par exemple) qui permettent d\u2019attribuer le d\u00E9cor de ces robes de statues aux premi\u00E8res ann\u00E9es du XIXe si\u00E8cle. \nMaximilien Durand"@fr . "Appartenant au vestiaire de la m\u00EAme statue qu'une autre\u00A0robe de statue de la Vierge\u00A0conserv\u00E9e au mus\u00E9e des\u00A0Tissus\u00A0(inv. MT 24783.1), cette\u00A0robe d\u2019Enfant J\u00E9sus est\u00A0conserv\u00E9e avec celle\u00A0de sa M\u00E8re (inv. MT 24783.3).\u00A0Les deux v\u00EAtements\u00A0ont \u00E9t\u00E9 confectionn\u00E9s dans un tissu de remploi, tr\u00E8s probablement issu de la garde-robe d\u2019une \u00E9l\u00E9gante. Il s\u2019agit d\u2019un taffetas de soie \u00E9crue, brod\u00E9 dans sa partie inf\u00E9rieure de paillettes, de fils torsad\u00E9s m\u00E9talliques, de fils de chenille et agr\u00E9ment\u00E9 d\u2019applications de satin ros\u00E9 pour les fleurs \u00E0 multiples p\u00E9tales. La robe de la Vierge comprend deux morceaux taill\u00E9s \u00E0 la forme du v\u00EAtement et assembl\u00E9s par le milieu. Ils sont compl\u00E9t\u00E9s par deux petites pi\u00E8ces du m\u00EAme taffetas sans d\u00E9cor constituant l\u2019angle inf\u00E9rieur droit. La robe de l\u2019Enfant J\u00E9sus ne comprend que deux morceaux de taffetas brod\u00E9, cousus ensemble par le milieu. L\u2019ensemble a \u00E9t\u00E9 doubl\u00E9 d\u2019un bougran bleu clair. Les deux v\u00EAtements ont ensuite \u00E9t\u00E9 bord\u00E9s d\u2019un galon bleu clair, cousu avec un fil vert. Le d\u00E9cor d\u2019origine a \u00E9t\u00E9 enrichi par des applications de feuilles, d\u2019oiseaux ou d\u2019\u00E9toiles m\u00E9talliques argent\u00E9s et dor\u00E9s, par des paillettes argent\u00E9es et des ornements en fils m\u00E9talliques, \u00E9galement argent\u00E9s. Un dessin sous-jacent appara\u00EEt par endroits sous les broderies anciennes et sous les nouvelles, mais il n\u2019est pas syst\u00E9matique. Des fleurs paillet\u00E9es rondes ont \u00E9t\u00E9 d\u00E9coup\u00E9es au ras du motif dans le taffetas d\u2019origine et appliqu\u00E9es sur la robe de la Vierge, de part et d\u2019autre de l\u2019axe de sym\u00E9trie central. Une dentelle m\u00E9tallique a \u00E9t\u00E9 cousue sur les c\u00F4t\u00E9s et \u00E0 l\u2019encolure des deux robes. Un bourrelet m\u00E9tallique borde l\u2019ourlet inf\u00E9rieur du v\u00EAtement de la Vierge, et une frange argent\u00E9e celui de la robe de l\u2019Enfant. Sur la robe de la Vierge, une fente a \u00E9t\u00E9 pratiqu\u00E9e dans la partie sup\u00E9rieure droite pour permettre le positionnement de l\u2019Enfant. Des rubans \u00E9crus ont \u00E9t\u00E9 fix\u00E9s aux encolures. Ils servaient \u00E0 attacher les v\u00EAtements \u00E0 la statue. De la m\u00EAme mani\u00E8re, de nombreux trous d\u2019\u00E9pingle correspondent \u00E0 l\u2019habillage de l\u2019effigie. \nL\u2019utilisation de chenille de soie, de passementerie, de paillettes, de clinquants, de cannetille m\u00E9tallique fris\u00E9e et non fris\u00E9e caract\u00E9rise les broderies r\u00E9alis\u00E9es pour les bas des robes sous le Premier Empire. Sur des \u00E9toffes l\u00E9g\u00E8res couraient des frises de fleurs ou de feuilles, r\u00E9alis\u00E9es en soies polychromes et lames de m\u00E9tal divers. Le mus\u00E9e des Tissus en conserve de nombreux exemplaires (inv. MT 18627, MT 18514, MT 18613.1 et 2, MT 18571, MT 35135.3, MT 35135.1, MT 35137.1 et MT 2952, par exemple) qui permettent d\u2019attribuer le d\u00E9cor de ces robes de statues aux premi\u00E8res ann\u00E9es du XIXe si\u00E8cle. \nMaximilien Durand"@fr . . . "Robe d'Enfant J\u00E9sus"@fr . "0.61540001630783081055"^^ . . "0.54460000991821289062"^^ . . "0.72200000286102294922"^^ . . . . . "Robe d'Enfant J\u00E9sus"@fr . . . . . . .