. . . . "PPO3778" . . "La quatri\u00E8me pi\u00E8ce de la tenture de l'histoire de saint Gervais et saint Protais repr\u00E9sente les deux saints apparaissant de nuit \u00E0 saint Ambroise. L'archev\u00EAque est agenouill\u00E9 dans la basilique de Saint-F\u00E9lix et de Saint-Nabor, derri\u00E8re des balustres du choeur. Le dais du si\u00E8ge \u00E9piscopal abrite le pr\u00E9lat qui contemple, pr\u00E9sent\u00E9 par saint Paul, l'apparition lumineuse des deux martyrs. A leurs pieds, sous les nuages qui les supportent, on aper\u00E7oit, jonchant le sol, les symboles du paganisme. Les bordures inf\u00E9rieure et sup\u00E9rieure, \u00E0 larges rinceaux d'acanthe peupl\u00E9s d'angelots, s'organisent autour d'un cartouche rectangulaire \u00E0 cuirs. Les bordures lat\u00E9rales sont orn\u00E9es d'arabesques encadrant des niches \u00E0 cul-de-four en coquilles dans lesquelles se dressent des statues des deux martyrs."@fr . "Apparition de saint Gervais et de saint Protais \u00E0 saint Ambroise, archev\u00EAque de Milan"@fr . . "Apparition de saint Gervais et de saint Protais \u00E0 saint Ambroise, archev\u00EAque de Milan"@fr . . "La quatri\u00E8me pi\u00E8ce de la tenture de l'histoire de saint Gervais et saint Protais repr\u00E9sente les deux saints apparaissant de nuit \u00E0 saint Ambroise. L'archev\u00EAque est agenouill\u00E9 dans la basilique de Saint-F\u00E9lix et de Saint-Nabor, derri\u00E8re des balustres du choeur. Le dais du si\u00E8ge \u00E9piscopal abrite le pr\u00E9lat qui contemple, pr\u00E9sent\u00E9 par saint Paul, l'apparition lumineuse des deux martyrs. A leurs pieds, sous les nuages qui les supportent, on aper\u00E7oit, jonchant le sol, les symboles du paganisme. Les bordures inf\u00E9rieure et sup\u00E9rieure, \u00E0 larges rinceaux d'acanthe peupl\u00E9s d'angelots, s'organisent autour d'un cartouche rectangulaire \u00E0 cuirs. Les bordures lat\u00E9rales sont orn\u00E9es d'arabesques encadrant des niches \u00E0 cul-de-four en coquilles dans lesquelles se dressent des statues des deux martyrs."@fr . . .