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| definition
| - v. A term formed within English. From Middle English "preent" "preente" "preynte" "preynt". It refers to the action of impress or stamp a form, figure, in or on a surface or fabric. (en)
- Del fr. estamper, y este del franco *stampôn 'machacar'; cf. a. al. ant. stampfôn, al. stampfen. Procedimiento por el que se obtienen dibujos de varios colores sobre una superficie de tejido, partiendo de un diseño creado de antemano que se aplica mediante tintes, por diferentes procedimientos sobre la tela, mediante la presión de una matriz o molde adecuado. (es)
- v. Procedimento utilizzato per ottenere un motivo a uno o più colori, che si ripete con regolarità sul fondo di tutta la pezza. In antico si otteneva per impressione a caldo praticata sui tessuti in modo da procurare i motivi per schiacciamento delle trame. Con la stampa vengono, generalmente, tinte zone limitate e localizzate e questo la differenzia dalla tintura dove, di solito , si tinge in un solo colore, ad esclusione della ''tintura a riserva''. I coloranti impiegati per la stampa sono gli stessi adoperati per la tintura. Per avere disegni netti, è necessario avere una soluzione netta e più o meno vischiosa del colorante. Nel processo di stampa sono utilizzati anche i pigmenti, cioè quelle polveri finissime che vengono legate al tessuto per mezzo di resine polimerizzate. Presso il dipartimento tessile della North Carolina State University è alla sperimentazione una nuova tecnologia di stampa con l'utilizzo dei raggi laser: le immagini colorate sono ottenute legando al tessuto sostanze coloranti in forma di polveri plastiche. Il procedimento è simile a quello usato nelle macchine fotocopiatrici. La stampa può essere classificata secondo i macchinari e secondo i procedimenti chimici impiegati. Nel primo caso, il mezzo utilizzato può essere a quadro piano su tavoli, a quadro rotativo su macchina rotativa, a cilindro, a trasfert, con procedimento fotografico. Con metodi chimici, la stampa viene classificata come: diretta o per applicazione, stampa in corrosione e in riserva. (it)
- Vb. trans. Empr. du lat. imprimere "appuyer sur", "laisser une empreinte sur". Procédé qui reproduit le motif sur des fils ou sur un tissu. L'impression textile est liée à la teinture, mais une ou plusieurs couleurs ne sont appliquées que dans certaines parties et selon des motifs bien définis. Un tissu imprimé peut l'être par impression, teinture ou peinture, le tout pouvant être mélangé. Il existe différents procédés : l'impression par réserve et la teinture au mordant sont les plus anciens modes de décoration textile et précèdent sans doute le décor tissé (on conserve des tissus coptes du Vème ou VIème siècles dont le décor a appliqué à l'aide de tampon en bois). La teinture par enlevage date du XIXème siècle. L'ikat, ou impression sur fils, crée quant à lui des motifs par un hasard habilement dirigé. Enfin, l'impression directe fait appel à plusieurs procédés par lesquels on applique un motif sur le tissu à l'aide d'un mélange contenant la couleur et l'agent fixant. 1. Des blocs de bois, des pochoirs, des plaques gravées, des rouleaux et plus tard des sérigraphies peuvent être utilisés pour apposer des couleurs sur le tissu. L'impression à la planche, procédé lié à l'imprimerie, est développée en Europe à partir XVIème siècle et elle reste la principale technique d’impression sur étoffe au XVIIIème siècle. Cette technique consiste à sculpter un motif en relief dans une planche en bois qui sera ensuite enduit de colorant puis appliqué sur l'étoffe. 2. L’impression à la plaque de cuivre (sur cylindres gravés en taille douce) quant à elle, est une des premières techniques d’impression implantées à Bourgoin Jallieu (Isère, France) dès 1780 –https://www.bourgoinjallieu.fr/culture/musee. L’histoire de l’impression textile commence en Inde. Les "indiennes" sont les premiers imprimés, apportés en Europe à la fin du XVIème siècle. L’ampleur de la vogue des cotonnades indiennes crée un marché prometteur que les Compagnie des Indes ne parviennent plus à satisfaire. La tentation est grande de contrefaire en Europe les cotonnades aux riches décors. Dans les années 1640, des marchands arméniens introduisent à Marseille les techniques indiennes. Bientôt, l’Angleterre (vers1670) et les Pays-Bas (1678) installent leurs premières manufactures. Mulhouse, cité indépendante jusqu’en 1798, pratique l’indiennage depuis 1746 – https://www.musee-impression.com. En France, l’essor est brisé par la concurrence trop directe avec les lainiers et les soyeux qui protestent vigoureusement. Pour protéger ces activités, le pouvoir royal ordonne en 1686 l’interdiction d’importation, fabrication et usage des toiles imprimées ou peintes. C'est seulement en 1759, que l’indiennage redevient libre dans le royaume de France et se développa à Nantes, Paris, Marseille, Lyon, Rouen. (fr)
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