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  • Bordure pour tenture brodée (fr)
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  • La bordure pour tenture brodée est une des premières œuvres de Jean-François Bony (1754-1825) à rejoindre les collections du jeune musée d'Art et d'Industrie fondé par la Chambre de Commerce de Lyon, avant même son ouverture au public en 1864. Elle est acquise en 1862 avec l'ensemble du cabinet réuni par Jules Reybaud (1807-1872), dans lequel figuraient, par ailleurs, plusieurs autres œuvres de la main de l'artiste, issues de ses ateliers ou réalisées sur ses dessins, comme un grand projet de tenture à la gouache (inv. MT 1125), une bordure fond carrelé vert pomme à décor de roses et de lilas commandée pour le meuble d'été de la chambre de Marie-Antoinette à Versailles, exécutée par Marie-Olivier Desfarges (inv. MT 1404), un lampas, fond cannetillé, broché à plusieurs lats, à dessin de branches de roses (inv. MT 1391) ou encore un taffetas moiré à fond blanc, ombré le long des lisières, avec un décor broché à liages repris de branches de prunier dans le goût chinois (inv. MT 1403). La même année 1862, la Chambre de Commerce faisait aussi l'acquisition d'une grande partie du cabinet réuni par François Bert, professeur de théorie, qui comprenait aussi plusieurs œuvres de Jean-François Bony, parmi lesquelles de nombreuses broderies sortant de ses ateliers, tentures (inv. MT 2828, MT 2829, MT 2830 et MT 2832), tableaux (inv. MT 3019 et MT 3020) ou échantillons pour gilets ou pour bas de robes (inv. MT 2831, MT 2948, MT 2949, MT 2950, MT 2952, MT 2953, MT 2955, MT 2956, MT 2957, MT 2959, MT 2960, MT 2961, MT 2962, MT 2964, MT 2965, MT 2966, MT 2967, MT 2969, MT 2999, MT 3000, MT 3001, MT 3002, MT 3003, MT 3006, MT 3007, MT 3008, MT 3009, MT 3023, MT 3024, MT 3025, MT 3026, MT 3027, MT 3030 et MT 3031). Elles montrent un goût certain pour les décors en application, de tulle, de dentelle, de satin ou de velours peint, pour le trompe-l'œil, l'usage conjoint de lames, de filés ou de cannetilles métalliques, de soie nuancée et de chenille, brodées au passé plat et au passé empiétant et, plus occasionnellement, au point de tige et au point de nœud, ainsi que la juxtaposition de certaines couleurs pour rendre le volume des feuilles ou les coloris des pétales des fleurs, et même l'usage de peinture, appliquée sur l'étoffe ou sur les cannetilles. À partir de 1866, de nombreux autres échantillons de broderie pour vêtements, issus des ateliers de Bony ou attribuables à ces derniers, ont encore rejoint les collections, ainsi que des projets de robes à la mine de plomb et à la gouache permettant de mieux cerner l'activité de brodeur que Jean-François Bony a exercée toute sa vie, parallèlement à celle de dessinateur de fabrique, de fabricant et, plus occasionnellement, de peintre de fleurs. La bordure pour tenture brodée est ornée d'un courant d'églantines (Rosa canina ou rosier sauvage), épanouies ou en boutons, sur des tiges dressées, chargées d'aiguillons, brodées au point de tige et au passé plat. La corolle des fleurs, à cinq pétales, brodée au passé plat et empiétant en soie et chenille de soie, entoure un pistil en chenille dont les étamines sont en filé métallique et en cannetille dorés. Autour de ce bouquet d'églantines s'enroule un ruban doré, orné sur sa face externe d'un courant de laurier, en feuilles et en fruits, et sur sa face interne d'une grecque, brodée sur une application de tulle. Le volume des spires est donné par l'usage des soies colorées, des filés et des cannetilles métalliques, ainsi que par les points de broderie eux-mêmes. L'usage du tulle en application est particulièrement caractéristique des premières années du XIXe siècle. Lyon s'était, en effet, spécialisée dans la production de ce type d'étoffe, d'origine anglaise. La consommation des tulles dans les ateliers de broderie de la ville était importante, comme en témoigne, par exemple, un acte de notoriété en faveur de Claude Bonnard, adressé en 1806 par le fabricant au ministre de l'Intérieur, Jean-Baptiste Nompère de Champagny. Bonnard est l'inventeur du procédé permettant de produire, depuis 1800, les tulles doubles, fond dentelle, noués, et l'acte de notoriété est signé par la plupart des marchands brodeurs de Lyon. Néanmoins, le nom de Jean-François Bony n'apparaît pas parmi les signataires du document. Pourtant, cette même année 1806, il est un des seuls marchands brodeurs de Lyon à obtenir une distinction à l'Exposition des produits de l'industrie française, pour « des broderies remarquables par leur beauté. » L'atelier de Jean-François Bony est, en effet, l'un des plus réputé sous l'Empire et jusqu'aux premières années de la Restauration. En 1805, l'Empereur et l'Impératrice séjournent à Lyon et les produits de l'industrie lyonnaise leur sont présentés au Conservatoire des Arts, dans le Palais Saint-Pierre. Napoléon et Joséphine remarquent « un écran fond velours, brodé en dorures et nuances, et un tapis de même sorte ; le tout exécuté avec autant de goût que de richesse dans les ateliers de M. Boni (sic) et d'après ses dessins. » En 1810, c'est à Jean-François Bony que le Conseil municipal de la ville de Lyon commande un « manteau de satin blanc et une robe ronde de tissu argent fin », les deux vêtements « brodés richement en superbe dorure fine » de modèle exclusif, pour être offerts à la nouvelle impératrice Marie-Louise à l'occasion de son mariage avec Napoléon Ier. Le musée des Tissus conserve une gouache de l'artiste représentant la robe et le manteau (inv. MT 18797.1), un projet à la mine de plomb et à la gouache pour les broderies du bas de cette robe (inv. MT 2014.0.1), un projet à la mine de plomb pour les broderies du manteau (inv. MT 2014.0.2), deux gouaches à l'échelle 1 sur papier argenté la de broderie de la robe (inv. MT 2014.0.3 et MT 2014.0.4) et un échantillon or sur drap d'argent de cette dernière (inv. MT 18797.2). Jean-François Bony exécute plusieurs vêtements pour la cour, comme en témoigne aussi le projet d'une robe brodée pour Caroline Murat contenu au folio 11 d'un carnet de dessins conservé au musée des Tissus (inv. MT 27638). Après 1814, il est toujours sollicité par le nouveau gouvernement. À l'occasion de la réception à Lyon de la duchesse d'Angoulême, Jean-François Bony est honoré par Madame Royale d'une visite à son atlier. Il s'engage à lui remettre dans un délai de six semaines « une robe de cour à grande queue sur une belle Levantine rose brodée argent sur le dessin composé de fleurs naturelles liées par des ornements recherchés » et « une robe ronde sur tulle rayé dont le dessin sera composé de roses, de renoncules et autres fleurs exécutées dans les couleurs naturelles en soie unie, le fond de la robe sera à colonnes et petits bouquets brodés argent fin ; au bas de la robe sera un falbala brodé aussi en argent. Prix convenu : 3000 francs. » Lors du séjour à Lyon, en 1816, de Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, à l'occasion de son mariage avec Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, Jean-François Bony est encore sollicité puisqu'il réalise une « robe longue sur satin blanc, brodée richement en or fin. » En 1817, encore, il est mentionné dans la Description historique de Lyon, ou Notice sur les monuments remarquables et sur tous les objets de curiosité que renferme cette ville publiée par Nicolas-François Cochard : « On voit chez M. Bony, dessinateur distingué, plusieurs tableaux brodés du meilleur goût : celui qui représente un coq renversant un panier de fleurs est un chef-d'œuvre d'exécution. Son atelier de broderie, et celui de Madame veuve Perret, rue Sainte-Catherine, sont ordinairement très occupés » (p. 303). Les ateliers de Jean-François Bony réalisaient des meubles brodés, des écrans ou des vêtements. Le dessin du courant d'églantines autour duquel s'enroule un ruban décoré fait apparemment partie des modèles de l'artiste qui ont connu un certain succès. Le musée des Tissus conserve, par exemple, une bordure en lampas, fond satin blanc, broché de soie, de filé et de frisé métalliques dorés, avec un courant de roses autour duquel s'enroule un ruban orné de feuilles de laurier, de palmettes et de culots (inv. MT 2841), acquise à la vente Bert. Par ailleurs, des meubles façonnés créés sous l'Empire reprennent encore le même motif, comme le gros de Tours blanc broché soie nuée avec attributs des Arts et des Sciences commandé en 1808 pour le deuxième salon des grands appartements du Palais de Meudon, exécuté par Lacostat et Trollier (le musée des Tissus en conserve un élément de bordure douze pouces pour tenture, avec un courant de roses entouré d'un ruban, inv. MT 33791), ou le damas jaune et bleu à guirlandes de marguerites et coupes de fruits, commandé en 1812 à J.-P. Lacostat et Cie pour des appartements de ministres ou grands officiers au Palais de Versailles (bordure neuf pouces pour tenture, lit et rideaux, dessin de « Roze [sic] avec treillage tournant sculpté à jour. Composition d'anciens desseins », Paris, Mobilier national, inv. GMMP 1194/1). En avril 1970, la bordure pour tenture brodée, qui était entrée dans les collections sous le numéro d'inventaire MT 1294, a été réinventoriée par erreur sous le numéro MT 35127.2. C'est malheureusement ce numéro erroné qui a été inscrit au revers de la pièce. Maximilien Durand (fr)
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  • La bordure pour tenture brodée est une des premières œuvres de Jean-François Bony (1754-1825) à rejoindre les collections du jeune musée d'Art et d'Industrie fondé par la Chambre de Commerce de Lyon, avant même son ouverture au public en 1864. Elle est acquise en 1862 avec l'ensemble du cabinet réuni par Jules Reybaud (1807-1872), dans lequel figuraient, par ailleurs, plusieurs autres œuvres de la main de l'artiste, issues de ses ateliers ou réalisées sur ses dessins, comme un grand projet de tenture à la gouache (inv. MT 1125), une bordure fond carrelé vert pomme à décor de roses et de lilas commandée pour le meuble d'été de la chambre de Marie-Antoinette à Versailles, exécutée par Marie-Olivier Desfarges (inv. MT 1404), un lampas, fond cannetillé, broché à plusieurs lats, à dessin de branches de roses (inv. MT 1391) ou encore un taffetas moiré à fond blanc, ombré le long des lisières, avec un décor broché à liages repris de branches de prunier dans le goût chinois (inv. MT 1403). La même année 1862, la Chambre de Commerce faisait aussi l'acquisition d'une grande partie du cabinet réuni par François Bert, professeur de théorie, qui comprenait aussi plusieurs œuvres de Jean-François Bony, parmi lesquelles de nombreuses broderies sortant de ses ateliers, tentures (inv. MT 2828, MT 2829, MT 2830 et MT 2832), tableaux (inv. MT 3019 et MT 3020) ou échantillons pour gilets ou pour bas de robes (inv. MT 2831, MT 2948, MT 2949, MT 2950, MT 2952, MT 2953, MT 2955, MT 2956, MT 2957, MT 2959, MT 2960, MT 2961, MT 2962, MT 2964, MT 2965, MT 2966, MT 2967, MT 2969, MT 2999, MT 3000, MT 3001, MT 3002, MT 3003, MT 3006, MT 3007, MT 3008, MT 3009, MT 3023, MT 3024, MT 3025, MT 3026, MT 3027, MT 3030 et MT 3031). Elles montrent un goût certain pour les décors en application, de tulle, de dentelle, de satin ou de velours peint, pour le trompe-l'œil, l'usage conjoint de lames, de filés ou de cannetilles métalliques, de soie nuancée et de chenille, brodées au passé plat et au passé empiétant et, plus occasionnellement, au point de tige et au point de nœud, ainsi que la juxtaposition de certaines couleurs pour rendre le volume des feuilles ou les coloris des pétales des fleurs, et même l'usage de peinture, appliquée sur l'étoffe ou sur les cannetilles. À partir de 1866, de nombreux autres échantillons de broderie pour vêtements, issus des ateliers de Bony ou attribuables à ces derniers, ont encore rejoint les collections, ainsi que des projets de robes à la mine de plomb et à la gouache permettant de mieux cerner l'activité de brodeur que Jean-François Bony a exercée toute sa vie, parallèlement à celle de dessinateur de fabrique, de fabricant et, plus occasionnellement, de peintre de fleurs. La bordure pour tenture brodée est ornée d'un courant d'églantines (Rosa canina ou rosier sauvage), épanouies ou en boutons, sur des tiges dressées, chargées d'aiguillons, brodées au point de tige et au passé plat. La corolle des fleurs, à cinq pétales, brodée au passé plat et empiétant en soie et chenille de soie, entoure un pistil en chenille dont les étamines sont en filé métallique et en cannetille dorés. Autour de ce bouquet d'églantines s'enroule un ruban doré, orné sur sa face externe d'un courant de laurier, en feuilles et en fruits, et sur sa face interne d'une grecque, brodée sur une application de tulle. Le volume des spires est donné par l'usage des soies colorées, des filés et des cannetilles métalliques, ainsi que par les points de broderie eux-mêmes. L'usage du tulle en application est particulièrement caractéristique des premières années du XIXe siècle. Lyon s'était, en effet, spécialisée dans la production de ce type d'étoffe, d'origine anglaise. La consommation des tulles dans les ateliers de broderie de la ville était importante, comme en témoigne, par exemple, un acte de notoriété en faveur de Claude Bonnard, adressé en 1806 par le fabricant au ministre de l'Intérieur, Jean-Baptiste Nompère de Champagny. Bonnard est l'inventeur du procédé permettant de produire, depuis 1800, les tulles doubles, fond dentelle, noués, et l'acte de notoriété est signé par la plupart des marchands brodeurs de Lyon. Néanmoins, le nom de Jean-François Bony n'apparaît pas parmi les signataires du document. Pourtant, cette même année 1806, il est un des seuls marchands brodeurs de Lyon à obtenir une distinction à l'Exposition des produits de l'industrie française, pour « des broderies remarquables par leur beauté. » L'atelier de Jean-François Bony est, en effet, l'un des plus réputé sous l'Empire et jusqu'aux premières années de la Restauration. En 1805, l'Empereur et l'Impératrice séjournent à Lyon et les produits de l'industrie lyonnaise leur sont présentés au Conservatoire des Arts, dans le Palais Saint-Pierre. Napoléon et Joséphine remarquent « un écran fond velours, brodé en dorures et nuances, et un tapis de même sorte ; le tout exécuté avec autant de goût que de richesse dans les ateliers de M. Boni (sic) et d'après ses dessins. » En 1810, c'est à Jean-François Bony que le Conseil municipal de la ville de Lyon commande un « manteau de satin blanc et une robe ronde de tissu argent fin », les deux vêtements « brodés richement en superbe dorure fine » de modèle exclusif, pour être offerts à la nouvelle impératrice Marie-Louise à l'occasion de son mariage avec Napoléon Ier. Le musée des Tissus conserve une gouache de l'artiste représentant la robe et le manteau (inv. MT 18797.1), un projet à la mine de plomb et à la gouache pour les broderies du bas de cette robe (inv. MT 2014.0.1), un projet à la mine de plomb pour les broderies du manteau (inv. MT 2014.0.2), deux gouaches à l'échelle 1 sur papier argenté la de broderie de la robe (inv. MT 2014.0.3 et MT 2014.0.4) et un échantillon or sur drap d'argent de cette dernière (inv. MT 18797.2). Jean-François Bony exécute plusieurs vêtements pour la cour, comme en témoigne aussi le projet d'une robe brodée pour Caroline Murat contenu au folio 11 d'un carnet de dessins conservé au musée des Tissus (inv. MT 27638). Après 1814, il est toujours sollicité par le nouveau gouvernement. À l'occasion de la réception à Lyon de la duchesse d'Angoulême, Jean-François Bony est honoré par Madame Royale d'une visite à son atlier. Il s'engage à lui remettre dans un délai de six semaines « une robe de cour à grande queue sur une belle Levantine rose brodée argent sur le dessin composé de fleurs naturelles liées par des ornements recherchés » et « une robe ronde sur tulle rayé dont le dessin sera composé de roses, de renoncules et autres fleurs exécutées dans les couleurs naturelles en soie unie, le fond de la robe sera à colonnes et petits bouquets brodés argent fin ; au bas de la robe sera un falbala brodé aussi en argent. Prix convenu : 3000 francs. » Lors du séjour à Lyon, en 1816, de Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, à l'occasion de son mariage avec Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, Jean-François Bony est encore sollicité puisqu'il réalise une « robe longue sur satin blanc, brodée richement en or fin. » En 1817, encore, il est mentionné dans la Description historique de Lyon, ou Notice sur les monuments remarquables et sur tous les objets de curiosité que renferme cette ville publiée par Nicolas-François Cochard : « On voit chez M. Bony, dessinateur distingué, plusieurs tableaux brodés du meilleur goût : celui qui représente un coq renversant un panier de fleurs est un chef-d'œuvre d'exécution. Son atelier de broderie, et celui de Madame veuve Perret, rue Sainte-Catherine, sont ordinairement très occupés » (p. 303). Les ateliers de Jean-François Bony réalisaient des meubles brodés, des écrans ou des vêtements. Le dessin du courant d'églantines autour duquel s'enroule un ruban décoré fait apparemment partie des modèles de l'artiste qui ont connu un certain succès. Le musée des Tissus conserve, par exemple, une bordure en lampas, fond satin blanc, broché de soie, de filé et de frisé métalliques dorés, avec un courant de roses autour duquel s'enroule un ruban orné de feuilles de laurier, de palmettes et de culots (inv. MT 2841), acquise à la vente Bert. Par ailleurs, des meubles façonnés créés sous l'Empire reprennent encore le même motif, comme le gros de Tours blanc broché soie nuée avec attributs des Arts et des Sciences commandé en 1808 pour le deuxième salon des grands appartements du Palais de Meudon, exécuté par Lacostat et Trollier (le musée des Tissus en conserve un élément de bordure douze pouces pour tenture, avec un courant de roses entouré d'un ruban, inv. MT 33791), ou le damas jaune et bleu à guirlandes de marguerites et coupes de fruits, commandé en 1812 à J.-P. Lacostat et Cie pour des appartements de ministres ou grands officiers au Palais de Versailles (bordure neuf pouces pour tenture, lit et rideaux, dessin de « Roze [sic] avec treillage tournant sculpté à jour. Composition d'anciens desseins », Paris, Mobilier national, inv. GMMP 1194/1). En avril 1970, la bordure pour tenture brodée, qui était entrée dans les collections sous le numéro d'inventaire MT 1294, a été réinventoriée par erreur sous le numéro MT 35127.2. C'est malheureusement ce numéro erroné qui a été inscrit au revers de la pièce. Maximilien Durand (fr)
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